Le 20 juin, avec Monique, je vais rendre visite au club espéranto de St-Raphaël où je retrouve des espérantistes que je connais, ainsi que des nouveaux, que des retraités, les actifs étant au travail. Le 24, un repas espérantiste aura lieu aux Issambres : j'y suis invité ! Nous serons une trentaine. Le 25, je reprendrai la route.
Monique et Pierrot, à St-Raphaël, sont en pleine construction. Je leur donne un petit coup de main, avec le renfort de René, le frère de Pierrot, et de Carmen, une amie espérantiste.
Quittant les amis de Rajecké Teplice, je me retrouve à Senec, toujours en Slovaquie, chez Marianna, une espérantiste. Le soir même, arrive Mireille Grosjean, la Présidente d'ILEI, la ligue internationale des enseignants d'espéranto, que je connais très bien. Décidément, le monde est petit. Après Bratislava, je me retrouve de nouveau en Hongrie où je fais la connaissance de Bernardina, une jeune cycliste fort sympathique. Puis, c'est la Slovénie et l'Italie avec toujours de belles rencontres. Et, le 17 juin, je foule enfin le sol de France, avec, vers 21 h, une brève et douloureuse rencontre qui...